• En France, il n’y a pas besoin de faire la démarche de déposer une œuvre de l’esprit auprès d’un quelconque organisme pour que celle-ci soit automatiquement couverte par le droit d’auteur.  Cependant, les durées de protection des œuvres ne cessent de s’allonger au fil du temps. Des militants craignent que cela ne finisse par entraver la libre création et diffusion de nouvelles connaissances – ce qui serait contraire à l’esprit initial de la loi.

    Ils ont alors créé un nouveau type de licences sous lesquelles les auteurs peuvent librement placer leurs contenus : ce sont les « licences libres ». Ces licences n’autorisent cependant pas le vandalisme : si elles sont plus permissives que le droit d’auteur classique, elles encadrent tout de même fermement les pratiques de réutilisation des œuvres.